Lucile Charpentier a intégré les équipes du Fonds Clinatec pour un stage de 6 mois. Elle travaille sur le casque de photobiomodulation Luciole Cap, en tant qu’ingénieur affaires réglementaires et qualité.
Après un baccalauréat scientifique, Lucile a intégré une classe préparatoire maths-physique, avant de réussir le concours de l’école d’ingénieurs ISEN, à Toulon. Elle a choisi de se spécialiser en électronique et, plus spécifiquement, dans les dispositifs médicaux. Durant ses études, elle a eu l’opportunité d’effectuer un semestre d’études en Tchéquie. Au cours d’une année de césure, elle a réalisé un service civique auprès des personnes sous tutelle et curatelle.
Elle a répondu à quelques questions pour éclairer ses motivations.
Qu’est-ce qui vous a donné envie de rejoindre le Fonds Clinatec ?
Étant curieuse et animée par le désir d’aider mon prochain, devenir ingénieur dans le domaine de la santé m’a semblé évident afin de mettre mes compétences au service d’autrui. La présentation des différents projets lors de mes entretiens avec le Fonds Clinatec m’a donné l’envie de contribuer à ces projets innovants. C’est aussi l’opportunité de travailler avec une équipe pluridisciplinaire, engagée dans l’amélioration de la vie des patients.
Qu’attendez-vous de ce stage ?
Mes objectifs sont de développer mes compétences et d’apprendre les différents volets réglementaires et de contrôle qualité inhérents à un projet de dispositif médical.
Quels sont les principaux défis techniques de votre mission ?
Les challenge majeur consiste à mettre au point un dispositif de photomodulation qui est efficace et qui respecte les normes et réglementations en vigueur pour assurer la sécurité du patient.
